MS Flight Simulator

SNCASO Vautour IIN v1.2

Maître d’œuvre : Philippe Penot – Conversion MSFS: Jean Lacante et Philippe Penot

Le SNCASO Vautour II est un avion de combat français développé dans les années 1950. Il a marqué une étape importante dans l’aviation militaire française, notamment en étant l’un des premiers avions supersoniques français.
Le Vautour IIN était un chasseur-bombardier à deux places, conçu pour être polyvalent. Il pouvait remplir des missions d’interception, de bombardement et de reconnaissance.
Il était équipé de deux réacteurs Atar, ce qui lui permettait d’atteindre des vitesses supersoniques en piqué.
Le Vautour II a été mis en service dans l’Armée de l’air française à partir de la fin des années 1950.
Il a été utilisé lors de diverses opérations, notamment en Algérie pendant la guerre d’Algérie, puis au Tchad.
Une partie des Vautour II a été modernisée dans les années 1960 (opération Jouventour) afin de prolonger leur durée de vie opérationnelle.
Le Vautour II a progressivement été remplacé par des avions plus modernes dans les années 1970.
Premier avion supersonique français: Le Vautour II a contribué à l’acquisition par la France d’une expertise dans le domaine des avions supersoniques.
Sa conception polyvalente en a fait un avion très apprécié par les pilotes.
Une petite partie des Vautour II a été exportée vers d’autres pays.

Morane-Saulnier MS733 Alcyon v1.3

Maître d’œuvre : Bernard Juniot – Conversion MSFS: Jean Lacante

Le MS 733 est un avion école triplace à moteur Potez et train rétractable. Il fit son premier vol le 16 avril 1951 et fut suivi de 5 appareils de présérie et de 200 exemplaires de série.
Ces machines étaient destinées à l’Armée de l’air et l’Aéronavale. Quinze exemplaires furent fournis au Cambodge.
Ils servirent à l’instruction chez les militaires jusqu’en 1963, la plupart étant alors reversés au service de la Formation Aéronautique où ils assurèrent la formation des pilotes professionnels dans les centres de Challes-les-Eaux et Saint-Yan jusqu’en 1978.
L’avion se caractérise par quelques dispositions particulières : un train rentrant à plat dans l’aile, des réservoirs de carburant sous le poste de pilotage, une verrière coulissante en deux parties et des skis de protection.
Comme tous les avions français de cette époque, il était très agréable à piloter, nécessitant de la précision, mais souffrait de sous-motorisation.
Pendant la guerre d’Algérie certains appareils furent modifiés pour l’observation et l’appui léger. Leurs performances déjà marginales par temps chaud, firent qu’ils ne connurent pas un grand sucés dans ce rôle. Toutefois une variante MS 735 avec un moteur à compresseur de 305 ch fut proposée sans plus de succès.

Couzinet 71 Arc-en-Ciel v1.0

Maître d’œuvre : Bernard Juniot – Conversion MSFS: Jean Lacante

Ce trimoteur, à structure en bois et revêtement en contreplaqué, à l’aérodynamique très pure, est le fruit d’études du jeune ingénieur René COUZINET qui voulait prouver la possibilité de traverser l’Atlantique Sud avec un avion terrestre (et non un hydravion).
C’est ce que démontrera Jean MERMOZ, en partant de Saint-Louis du Sénégal le 16 janvier 1933 pour rejoindre Natal (Brésil) après 14h24 de vol; il fera, par la suite, 8 traversées postales, jusqu’au 28 octobre 1934.
Modifié fin 1934, Mermoz fera revoler l’avion le 25 février 1935 sous la désignation C71.
Malgré ses performances, l’Arc-en-Ciel ne sera pas commandé en série mais arrêté et vendu aux enchères le 28 Mai 1937 puis détruit en 1941 à la suite de l’occupation de l’usine Couzinet par l’armée allemande.

Nord 1101 Ramier v1.1

Maître d’œuvre : André Chancel – Conversion MSFS: Jean Lacante

Le Nord 1100 Ramier est un avion de liaison léger développé par Nord Aviation après la Seconde Guerre mondiale. Il est basé sur le Messerschmitt Me 208, un avion de liaison léger allemand.
Le Nord 1100 a été utilisé par l’Armée de l’air et l’Aéronavale jusqu’en 1963. Dans le civil, il a été utilisé par plusieurs compagnies d’avions-taxis.

Morane-Saulnier MS760 Paris Marboré II v1.2

Maître d’œuvre : André Chancel – Conversion MSFS: Jean Lacante

Le Morane-Saulnier MS.760 « Paris » est un avion à réaction quadriplace construit par Morane-Saulnier, sous la direction de l’ingénieur Paul-René Gauthier, destiné principalement à des missions de liaison ou de transport léger. Apparu à la fin des années 1950, il a été construit à 157 exemplaires dont une bonne partie étaient toujours en service à la fin des années 1980. Un certain nombre d’avions ont été vendus à l’exportation ou à des opérateurs civils. Il est considéré comme l’un des tout premiers very light jet.

Morane-Saulnier MS760 Paris Marboré VI v1.2

Maître d’œuvre : André Chancel – Conversion MSFS: Jean Lacante

Nord 3202 v2.3

Maître d’œuvre : André Chancel – Conversion MSFS: Jean Lacante

Le Nord 3202 a été conçu à l’origine pour remplacer les biplans Stampe SV-4 en service dans l’Armée de Terre française. Après le premier vol des prototypes, un modèle de série a été développé et est entré en service en 1957. Les Nord 3202 ont été utilisés pour la formation des pilotes et l’exécution de démonstrations de voltige aérienne jusqu’en 1978 et ont été les derniers avions d’entraînement militaire spécifiquement conçus pour l’ALAT.

Breguet XIV v1.1

Maître d’œuvre : Emmanuel Geffroy – Conversion MSFS: Jean Lacante

Le Breguet XIV était un avion biplace français utilisé pendant la Première Guerre mondiale comme avion de reconnaissance et bombardier. Il était le plus rapide des avions biplaces de la Première Guerre mondiale, et pouvait porter jusqu’à 300 kg de bombes. Il était doté d’une structure en acier légère et rigide, lui permettant des manœuvres très délicates. Son rayon d’action théorique était d’environ 250 km, mais il ne pénétrait généralement pas dans les lignes ennemies à plus de 25 km. Il est resté célèbre pour sa participation à l’épopée de l’Aéropostale.

Stampe SV.4 v1.0

Maître d’œuvre : André Chancel

Le SV-4 est un biplan d’entraînement et de voltige, biplace en tandem, monomoteur à train classique fixe. Son moteur est un Renault 4P05 à quatre cylindres en ligne inversés de 140cv. Le train d’atterrissage classique est fixe. Le pilote prend place à l’arrière, l’élève pilote à l’avant. Le fuselage et les ailes ont une structure en bois, recouverte de toile.

Druine D5 Turbi v1.5

Maître d’œuvre : Jean Lacante

Dans les années 1950 Roger Druine crée le D5 Turbi (Turbulent Biplace) destiné à la construction amateur.
Le Turbi est une extrapolation du monoplace D31 Turbulent.
Le Druine D.5 Turbi est un avion biplace de construction en bois et toile, monoplan cantilever à aile basse avec train d’atterrissage fixe et patin à l’arrière.
Le pilote et un passager sont situés en tandem, respectivement en place arrière et avant, dans des cockpits ouverts.
Cette version du Druine D5 Turbi est la reproduction de l’avion construit d’après les plans créés par Roger Druine et dont j’étais copropriétaire.
Quelques modifications avaient été apportées aux plans originaux, notamment les formes de la dérive et des capots moteur, ce qui en fait un modèle unique.

Nord 3400 Norbarbe v1.5 (bêta)

Maître d’œuvre : Gilles Faulmeyer – Conversion MSFS : Jean Lacante

Répondant à un programme militaire lancé en 1957 pour la construction en France d’un avion biplace d’observation et d’évacuation sanitaire, le prototype du 3400 effectua son premier vol le 20 janvier 1958.
C’est un monoplan à aile haute haubanée et contreventée. Son revêtement est mixte: toile et métal. L’habitacle offre une excellente visibilité et une grande porte latérale est prévue pour pouvoir entrer facilement un brancard. Il a la même motorisation que le Nord 3202 et son hélice bipale Ratier sera remplacée en 1965, comme celle de son prédécesseur, par une hélice tripale Hartzell à pas variable.
Prévu pour remplacer le Piper L 21 et le Cessna L 19, le premier Nord 3400 sera livré à l’Alat en juillet 1959. Bruyant, arrivé trop tard, il n’aura pas le temps de faire ses preuves avant la fin de la guerre d’Algérie. De retour en métropole, il sera, comme tous les autres avions de l’Alat, victime du développement de l’hélicoptère.
Les 150 exemplaires construits entre 1959 et 1961 auront été utilisés par l’Alat puis par la Gendarmerie car peu adapté à des emplois civils d’une part et d’autre part, de conception trop classique par rapport à ses concurrents étrangers déjà établis, il a été jugé peu apte à l’exportation.

Fouga CM170 Magister v1.2

Maître d’œuvre : André Chancel

Le Fouga Magister CM170 est un biréacteur léger biplace conçu pour la formation et l’entraînement des pilotes militaires. Il est le fruit de la coopération de Robert Castello et Pierre Mauboussin de la société Fouga, pour la cellule, et de Joseph Szydlowski, fondateur de la société Turboméca,pour les moteurs.
Il effectua son premier vol le 23 juillet 1952 aux mains de Léon Bourrieau. Retenu parmi les 24 avions présentés par le Groupe consultatif pour l’instruction aérienne de l’OTAN, il est produit en série à partir de 1956 en France (successivement et en fonction des évolutions des structures industrielles par la société Fouga, puis Air Fouga, société reprise par Potez, elle­même intégrée ensuite à Aérospatiale) mais aussi sous licence dans de nombreux pays (Allemagne, Finlande, Israël…). Près de mille appareils ont été construits jusqu’à la fin des années soixante.
L’Armée de l’Air française, qui a réalisé entre 1956 et 1996 plus de 2 millions d’heures de vol sur environ 400 appareils, a été le principal utilisateur du Fouga Magister.

Cuers-Pierrefeu LFTF v2.0

Maître d’œuvre : Jean Lacante

L’aérodrome de Cuers-Pierrefeu est un aérodrome situé dans le Var, sur les communes de Cuers et de Pierrefeu-du-Var.
La partie civile est gérée par l’association des usagers de la zone civile de l’aérodrome de Cuers-Pierrefeu (AZCCP). Sa partie militaire est principalement dirigée par les Ateliers industriels de l’aéronautique dépendant du Ministère français des Armées.

Lanvéoc-Poulmic LFRL v.3

Maître d’œuvre : Jean Lacante

La base d’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic est implantée sur la presqu’île de Crozon en Finistère. Elle assure le soutien opérationnel technique et logistique des aéronefs affectés sur la base ou détachés sur les bâtiments, et est placée, de nos jours, sous le commandement opérationnel de la zone atlantique.

Toulon-Hyéres LFTH v.3

Maître d’œuvre : Jean Lacante

L’aéroport de Toulon – Hyères (code IATA : TLN • code OACI : LFTH) est un aéroport international à usage mixte (militaire/civil) situé sur la commune de Hyères, près de Toulon, dans le département du Var.
Il est composé d’une base d’aéronautique navale créée en 1925 et d’un aéroport civil créé en 1967, ouvert au trafic national et international commercial.